vendredi 4 septembre 2009
Rahila... partante
L'art des "bricoles",
bricolage entre illusions et désillusions,
équilibre et déséquilibre
qui de nous reste
et qui fuit?
pressentir l'étrange,
piller le sel, piller le poivre
piller la glace dans mon cœur froid.
je cache mes mains,
tu tends les tiens,
qui de nous est vert,
qui est cuit?
j'efface mon ombre,
je tue mes mots,
je décompose le désert pré
me prendre au mot
je me tais
sans le couper
je me déconstruis.
de tous les partants, les revenants, les retournants
croyez-moi, je ne serais nulle part désabritée
tant qu'un rayon de mon sourire
dans vos cœurs subsisterait.
http://www.youtube.com/watch?v=zGVVx-ZA-VE
http://www.youtube.com/watch?v=t0HN0fipLig
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kali "bris colleuse", colibri dont le timbre larde les bardes épargnés par l'hiver, d'un zeste de ces six troncs magiques, tu fais mieux que tous les druides, qu'importe d'être cuit si on y a cru, fadaise que d'être vert quand la falaise s'éloigne vers le ciel. Texte en jaillissement épuré à l'extrême qui ne perd rien de ses mots d'épice. Tu nous confies que le néant n'est nulle part ailleurs qu'en nous et qu'en un vide à sa guise supposé, l'on trouve le tout.
RépondreSupprimerL'âme blessée se console en s'épanchent sur le papier. En tant qu'ami et collègue, je t'ai vu Kalimate transcrivant tes peines et maux en mots sur tes cahiers, tes calepins tes petits carnets...
RépondreSupprimerIl a fallu que l'idée de créer un blog te séduise, et tu es arrivée à tenir un blog intéressant par ses lecteurs-commentateurs, riche par ses sujets. Succès qui redouble le plaisir et la consolation. Ton écriture s'affirme dans cet échange entre blogueurs de qualité et comme d'habitude " les rayons de ton sourire" ne peuvent que marquer ton auditoire. car le plaisir, à mon sens ,que te procure ton blog, ce plaisir de se peindre est inséparable du plaisir narcissique de se regarder dans un miroir et plaire.
reste partante, car l'écriture opère comme une incantation magique, comme un charme. Kalimate aeriennes, tes mots, bercent la douleur, l'atténuent, la font oublier.
Ma douce amie, de ma part, je ne songe nullement créer un blog, mais je me suis habitué à te lire parmi mes favoris.
Youssef l'ami.
C'est quoi ces bêtises? je refuse de te voir détruire cet espace d'expression si beau et si radieux.
RépondreSupprimerEt puis, tu semble oublier ton enthousiasme du début, voulant entrainer tous tes amies pour créer un groupe d'échange et d'expansion. repose toi, calme toi,ne prends pas de décision hative: tu es stressée, tu es fragilisée par tout ce que tu as enduré.
Sois attentive, tu auras besoin de beaucoup de force et de soutien
Prends soin de toi "amande douce":)
Belle et lumineuse la bougie
RépondreSupprimerQui se consume à chaudes larmes
Naïve de croire finir et plonger Le monde dans les ténèbres
Elle pleure
A tort
Si elle pouvait savoir et sourire
Tarir ses larmes
Elle se reconnaitra
Flambeau
Porteur d'une flamme éternelle
Quelle belle grâce et subtilité coule en cire fraîche,
RépondreSupprimerencre joyeuse ,
Sous le charme de tes mots MG
poète et troubadour
la bougie piqua un fard comme une adolescente qu'on flatte,
et jamais ne parla de retraite.
Merci de me faire tant plaisir.
Fleur champêtre, ma douce amie!
RépondreSupprimerrien n'est à déconstruire sinon la bêtise des gens faux, la vanité des ambitieux, la dépendance et les mauvaises habitudes estivales. voilà je te mets au parfum.
de tous les partants, les revenants les retournants...
Youssef, si tu ne modères pas tes ardeurs, on croirait que tu es mon ombre. sourire.
RépondreSupprimertu l'as dit petit frère: "reste partante..." et je compte le rester.
je t'aime.
colibri, brise et colle... me voilà bien chanceuse!
RépondreSupprimerYug et sa manie de jeux de mots.
je retiens magique et druide, j'essayerai de te concocter un philtre magique qui sauve et protège d'être épris d'amour des grands esprits.
"Nul n'aura l'esprit, hors nous et nos amis
Nous chercherons partout à trouver à redire,
Et ne verront que nous qui sache bien écrire."
Les Femmes Savantes.
iwa ki jitek yuga nuga?
Point de meilleur Elixir que ton rire, point de pire repentir que tes maux, Femme aîlée, ça vente!
RépondreSupprimerUne certaine Aziza Jalal tenait à ce que mes excuses soient publiques
RépondreSupprimerC’est donc fait, je joins mon émail
Je tiens à préciser que je n’ai offensé personne, et je n’ai insulté personne, je ne fais que riposter d’une façon provocatrice.
Mite ou Le mythe
Je sais ce que je vaux
Envoyé la nuit du Samedi (dimanche 6 septembre à 1h17)
Salam XXXXXX
J’ai fait un tour sur ton blog hier soir et j'ai lu mon dernier commentaire, et je me rends compte qu'il est très blessant
Je te présente mes excuses les plus sincères
Ceux qui me connaissent te diront que je suis un type très gentil, serviable et en même temps je peux être cruel quand on touche à mes principes
Pour moi c’est déjà oublié le jour même où j’ai posté mon commentaire.
Je ne suis pas rancunier, et je sais faire la différence entre la bloggeuse et le personnage
Prends du recul et reprend le blog, car j’aime beaucoup te lire
Bonne continuation
Béni Ramadan qui exauce les voeux des coeurs de Misk fussent-ils à Minsk.
RépondreSupprimerA kali de lire l'oracle en le haut vol du condor quand il plonge se receuillir sous la tige sans ride de cette fleur des mondes arides.
Signé : le gentil, mais pas plus que "tout le monde"...
Permettez vous de m'expliquer ce qui se passe?
RépondreSupprimer@Lemythe : je voudrai aussi un rapport IER concernant ton dernier post sur la blogoma :)
Bonne journées les artistes.
Mounir,pour ne pas te laisser dans les méandres de l'ignorance, je vais te conter l'histoire de la Noria.
RépondreSupprimerNoria, pourquoi grinces-tu
et pourquoi gémis-tu?
je gémis et je grince d'amour pour Dieu
Je suis noria et je suis eau souffrante
Dieu a voulu que je geigne et gémisse.
Mes ailes, mes bras sont arbres mutilés
Chaîne j'étais dans les montagnes
...
Et depuis par l'amour navrée,
je geins de vérité
Yunus, toi qui connais la roue du monde
tu sais qu'aucun dessein ne trouve issue,
que nul être humain ne demeure.
Noria, navrée d'amour ,je tourne
je grince et je geins.
Yunus