"Ils viennent les chevaux de la mer"Walter Crane 1893 |
L’écriture en vagues me submerge
Quand le vague se miroite sur ma surface
Vague est ma vie miroir de ma susceptibilité qui se reflète vaguement sur ta face de glace
Le gel a ceci de vrai une lame qui blesse mord et cesse toute vie
Par une morsure bleue quand le bleu azur est absent et le ciel affiche sa brume morne
Mort-nés mes sentiments s’étouffent
Touffues mes pensées s’étoffent
La nuit s’épaissit le jour s’effiloche en profondeurs blanches...
la mer
RépondreSupprimersouveraine et fière sur ses grands chevaux
elle attend quoi pour dire son dernier mot ?
Elle est cyclique, elle ne se lasse de se redire, n'attends pas Salvadorali qu'elle se taise ou tarisse.
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