Des idées, n'importe quelle idée.
L'écriture déserte mes cieux. Je me dois d'écrire: scribouiller, gratter le bois, griffer la peau, fendre le sable , creuser les surfaces lisses des pierres...Que dis-je?
Démesure et rêve rit de la grandeur.
La nuit s'annonce douce et paisible,cependant mes pensées me torturent. Partagées entre quiétude et regrets.
J'effleure mon clavier de ce toucher tous mes
sens s'enflamment . tisser des toiles, filer les étoiles. le fil est solide je reste suspendue à tes lèvres, à tes paroles tues.
J'effleure mon clavier de ce toucher tous mes
sens s'enflamment . tisser des toiles, filer les étoiles. le fil est solide je reste suspendue à tes lèvres, à tes paroles tues.
Meurtrie je cherche ma sérénité dans le jeu des vagues.
J'écrivis un poème sur les galets.. et sur un lit de galets j'étais couchée...
au bord de la mer, je laissais les vagues me chatouiller ... une vague coquine m'a adoptée... Elle effleurait ma peau de ce toucher divin,s'éloignait puis revenait à la charge...avec un peu plus de force, me balançant puis se repliait triomphalement...
La petite vague folle... me faisait rire... elle me poursuivait n'importe où j'allais...
Le jeu ne se termine jamais comme on l'espère...
En s'éloignant de la mer, elle trépassa sur le sable chaud... je l' accompagnai jusqu'à son dernier soupir...
Je médite ce temps crépusculaire, les rayons anémiques du soleil mourant chatouillent mes pupilles qui se dilatent d' émerveillement
Chevauchant un tronc de cocotier je fus prisonnière des vagues.
Pour l'observateur, quel tableau sensuel offre cette vue!
J'écrivis un poème sur les galets.. et sur un lit de galets j'étais couchée...
au bord de la mer, je laissais les vagues me chatouiller ... une vague coquine m'a adoptée... Elle effleurait ma peau de ce toucher divin,s'éloignait puis revenait à la charge...avec un peu plus de force, me balançant puis se repliait triomphalement...
La petite vague folle... me faisait rire... elle me poursuivait n'importe où j'allais...
Le jeu ne se termine jamais comme on l'espère...
En s'éloignant de la mer, elle trépassa sur le sable chaud... je l' accompagnai jusqu'à son dernier soupir...
J'admire la naissance d'autres vagues.
Chevauchant un tronc de cocotier je fus prisonnière des vagues.
Pour l'observateur, quel tableau sensuel offre cette vue!
respirer l'air marin, se faire éclabousser par les vagues désenchante tous les sortilèges.
la marré continuait à monter et l'eau m'entourait .
Elle glissait furtivement serpentine. Bientôt la fosse me séparant de la plage caillouteuse allait se remplir.
Elle glissait furtivement serpentine. Bientôt la fosse me séparant de la plage caillouteuse allait se remplir.
N'est-il pas superbe de se trouver captive de l'océan?
Captive de l'Océan
RépondreSupprimerune sirène
une sirène de plus
bientôt
il entendra son chant
celui qui veut l'entendre
dans mon cas, c'est chose faite !
RépondreSupprimerkalimate, permets que j'en profite
merci pour ta visite
gentigresse venue s'ébattre
dans les vagues de mes idées
vagues idées
PS
vive ta toile tissée d'étoiles
te voila donc araignée
appelée comme disait l'autre à régner
impératrice poétesse
et dans tes tresses
nous autres prisonniers
Michel, si reine il y avait, sa voix phare te guiderait certainement loin des récifs où d'autres ont échoué.
RépondreSupprimerMerci de me lire cher ami.
Salvadorali, cher ami
RépondreSupprimerSous les flots de ton charme, kalimate règne :)
Merci Messire ;)
Quelque peu amusé, quelque peu enchanté, quelque peu heureux de te lire. Tes mots subtiles, tes images sensuelles procurent de la joie enfantine.
RépondreSupprimerYoussef qui rêve et rit:)
Fûsse l'effet mer des fées mères ou la vision éphémère de ton Eden à toi ? Le tronc s'est pris aux rêts du rêve et s'est mis à voler de crête en rocher... A Kali souhaitons la plus sereine des fêtes si elle le veut bien :)
RépondreSupprimerl'océan de ta poésie serait-il tari ?
RépondreSupprimersans tambours ni trompettes
exit la reine des sirènes...
et la dernière vague de tes vers
n'en peut plus pauvrette
de faire durer le plaisir...
de ce fait la question se pose
pour la circonstance en prose :
le dépit est-il permis ?
Youssef, quel plaisir de savoir encore capable de rêver et de rire. Ne disparais pas de mon horizon :)
RépondreSupprimerYugurta,de même pour toi et ta petite famille le meilleur des 3id.
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