Il tourne sur lui-même, s'élève puis s'incline
Gracieuse image d'un seigneur qui illumine
Mes cieux, éclaire mon horizon, déverse ses chaleureuses ondines
Dans mon coeur, la glace se brise, mes chaînes fusent, mon âme à son approche
transcende les distances, s'élève serpentine...serpentine
transcende les distances, s'élève serpentine...serpentine
Il me dit: pense-moi! Écris-moi!
Je m'empresse de m'étaler ligne par ligne
Me transforme sans le savoir en parchemin tatoué à l'encre de chine
Un souffle s'élève tellement éclatant et disperse une poussière d'or et peaufine
De mille et une étoiles mon écorce fine
C'était le Char d'Hélios,
D'un ami volé un soir
propageant la liesse
...in fine...
l'extase goutée a t mots ressemble au tissu ambré du reve merci kalima d'etre
RépondreSupprimerJe vois que "l'essaim de tes pensées est venu butiner les pétales "de la fleur de mes mots. Ravie cher ami:) Anonyme.
RépondreSupprimerTon char du dieu Hélios propageant la liesse loin du raz des pâquerettes, m'inspire que l'ami Robin des cieux en question chevauche peut être un char don au pays du dieu Râ !
RépondreSupprimerDon, ma mie, dont le Dieu unique t'a gratifiée, surement dans le but noble de transcender les distances ...10/10 ! :)
Hum! ma maîtresse est bien contente de moi on dirait. Un 10/10 venant de toi, c'est un honneur gentille petite fée :)
RépondreSupprimerEn littérature, Hélios est progressivement confondu avec Apollon-Phébus, dieu de la lumière solaire, de la divination, de la musique et de la poésie. Bien que Phaéton soit le fils d’Hélios, Ovide utilise le nom Phébus quand il parle de ce dernier, ce nom signifiant « le Brillant ». Selon wikipédia.
RépondreSupprimerBienvenu tu es et tu resteras Amine.
Tes mots ma douce: sublime caresse. Telle la belle Vénus semant le charme et la liesse en débris d'or.
RépondreSupprimerExcellente comme toujours ma poétesse et amie.
Youssef en admirateur
Salut à toi, fière poétesse
RépondreSupprimerque jamais ton flow ne cesse
et grand merci pour cette jolie pièce
de poésie enchanteresse.
Tout de même il faut que je confesse
avoir décroché avant la fin de la messe
au moment où pour mieux tenir ta promesse
ton poème fait rimer peaufine et peau fine, d'où mon stress...
c'était la déclinaison de trop, le "mess"
comme disent les poètes US,
un peu comme lorsque le soufflé s'affaisse,
alors que les convives alléchés sont en liesse.
PS
j'ai constaté avec surprise que tu avais débaptisé mon blog, devenu "Note Bleue" à tes yeux ;-) du coup, je suis tenté de le créer pour de bon, ce blog qui s'appellerait en effet Note Bleue et qui serait consacré à ce qu'une certaine atmosphère artistique et bien entendu musicale pourrait avoir de bénéfique par les temps qui courent...
Salut à toi cher Salvadorali ami et lecteur,
RépondreSupprimerNe pas stresser par les temps qui courent est un signe de non humanité...La note bleue est peut-être ce havre de paix et d'harmonie auquel nous aspirons tous, le dernier îlot de l'humanité :)
peaufiner dans le sens de soigner ;)
Youssef en admirateur! en voilà une signature un peu spéciale d'un beau brun au regard ténébreux:)))
RépondreSupprimerkalimate
RépondreSupprimerça n'est pas le sens qui pose problème mais la faiblesse de la rime
tu aurais pu éviter cette faiblesse en disant par exemple : mon écorce fine...
mais je ne te suis pas dans ton argumentaire, vu que l'homme est une machine à justifier ses actes, y compris la résignation au stress !
Salvadorali, mon épuisement dépasse tout stress, c'est à peine si j'ose scribouiller quelques mots. Quant à mon argumentaire, il déraisonne faute d'être un enchaînement logique.
RépondreSupprimer