Au pays du soleil levant
Les fleurs des cerisiers gèlent
dans la splendeur de la floraison
dans la splendeur de la floraison
lamelles de douleur
loin est l'espoir
en un printemps meilleur
entre les flocons de neige
et les nuée ardentes
éventail à deux faces
l'une tire
l'autre
relâche.
éventail à deux faces
l'une tire
l'autre
relâche.
la personnalité humaine est en devenir.l'homme est un projet qui se progète dans l'avenir , ainsi il n'aboutit jamais à une perfection;et c'est ce projet seulement et non pas autre chose qui permet à l'etre humain de s'inscrire dans un processus d'appretissage et d'assimilation.
RépondreSupprimerZakaria, en lisant ton commentaire, je me suis demandée: mais de quoi parle-t-il? Mon écrit étant un hommage à la catastrophe de Fukushima au Japon... C'est en relisant encore une fois que je me suis rappelée un texte que j'ai lu, il y a bien longtemps "Je,nous et les autres" et comme la terre entière est entrain de rétrécir, étrangement, comme toutes les cultures; l'homme, ce médiateur à la double culture, sera encore plus indispensable dans l'économie de la civilisation universelle qui s'annonce.
RépondreSupprimerDelà, j'adhère à cette personnalité en devenir car l'avenir est au métissage...
Le chêne
RépondreSupprimerSa mine indifférente
Devant les cerisiers fleuris
Matsuo Bashô (Maurice Coyaud)
Pour un simple locataire
le cerisier offre
bien trop de fleurs
Kôyô (Coyaud)
Cher ami,
RépondreSupprimerJ'ai essayé d'écrire des haïku , mais sachant qu'ils respectent certaines règles que j'ignore, j'ai laissé tomber mon projet:)
Merci du partage et du choix de Haïku célèbres. Merci pour la tof ;)
Le volcan
RépondreSupprimerSa lave dérisoire
Devant les réacteurs en fusion
Tu m’épates en Samouraï Salvadorali :)
RépondreSupprimerréussi ton haïku
" Oiseaux de passage
RépondreSupprimerNe vous querellez pas en volant
Frères faits pour vous entraider "
KOBAYASHI ISSA (1763-1827)
(Traduit du Japonais par G. Renondeau, éd.Gallimard)
Un monde
RépondreSupprimerqui souffre
Sous un manteau de fleurs
Kobayashi Issa
Le printemps
RépondreSupprimerprécoce
enfièvre les bourgeons
Echos
RépondreSupprimervide comme inculte
barbarie.
Namae Kya